dimanche 30 août 2009

Mon petit costume d'infirmiere





Me voici de nouveau obligée de jouer les infirmieres!!
ma môman a bien son grand truc blanc enlevé mais sa main demeure encore toute molle!!
et je n'ai encore droit a des caresses d'une seule main!!!!
Il faut donc que je la surveille : qu'elle ne retombe pas, qu'elle fasse attention, qu'elle ne porte pas trop lourd!!!
quelle responsabilite!!!!
mais je suis bien contente : encore un mois de bonheur avec elle.. à la maison....!!!!

dimanche 23 août 2009


et aussi tres fair play en compagnie féminime!!!

L 'aventurier bingo

MAIS BINGO EST AUSSI UN GRAND AVENTURIER MARIN!!!

IL AFFRONTE AVEC BRAVOURE LES ELEMENTS MARINS DECHAINES.........

mercredi 19 août 2009

Prince Bingo surveille son petit monde!!!

pendant que Bingo est intrigué par le plâtre....!!!!

le bonheur dans les bras de Martine!!
















bingo a aime le confort du fauteuil




nous on regarde pas l'appareil!!!




bingo est venu me rendre visite!






voici le beau bingo qui est venu me rendre visite!!!



Les 2 loulous vont bon ménage!!

lundi 17 août 2009

fait trop chaud!!!!




FILEMON 2



.Des retards administratifs et de mauvais conseils ont mis le refuge Filemon dans une passe difficile. Aujourd'hui, c'est un optimisme pru­dent qui anime sa responsable.
Depuis mars 2008, le refuge employait quatre personnes (trois contrats avenir et un contrat d'aide à l'emploi) qui s'occupaient des ani­maux et des boxes. Problème, ils n'ont été enregistrés à l'Urssaf et aux Assedic qu'en février 2009.
«Un expert comptable nous a dit à l'époque qu'on n'avait rien à payer avec ce type de contrats. » Avec le recul, Adeline Hoffman reconnaît s'être fait berner en beauté. Seule­ment voilà, les montants impayés (charges patronales et salariales) pour 2008 s'élèvent à 3 800 euros.
La situation s'améliore lentement mais sûrement : «Ce qui devait être payé à l'origine a été payé, soit 2 800 euros. Le reste est pratiquement réglé. » Une bonne nouvelle grâce, en grande partie, à la générosité des particuliers.
Mais ce n'est pas tout, lors de la tempête de fin 2008, les chatteries ont été détruites, elles n'ont pas résisté au vent. La Direction départe­mentale des services vétérinaires s'en est mêlée et a demandé à ce qu'elles soient désormais aux normes actuelles donc reconstruites,en dur et non plus en bois.
Cout estime des travaux..22 000 euros. Le refuge avait jusqu'à la fin du mois de juin pour engager les travaux. « Nous avons demandé à un professionnel de s'en occuper depuis deux mois mais on attendait toujours. »
Adeline Hoffman espère que la situation se débloque rapidement et que le dossier du permis de construi­re puisse partir à la mairie et à la Direction départementale des servi­ces vétérinaires. Un enjeu d'autant plus important quand on sait que le début des travaux conditionne l'aide financière de la Fondation Bri­gitte Bardot.
Parallèlement, des travaux concer­nant la construction d'une infirme­rie, en dur, pour les soins ont démar­ré.
Le refuge accueille, actuellement, 49 chiens et 90 chats.
De notre correspondant CHRISTOPHE NIOPEL

dimanche 16 août 2009

COUPE NEW LOOCK






Et moi j'ai eu le droit à une petite coupe d'oreilles "new loock"...
Z avez vu mes belles n'oreilles????

beau bouquet

voici le beau bouquet que ma marraine Odile a offert a ma môman pour son anniversaire:




vendredi 14 août 2009

ma môman est moi avons 11ans de vie
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commune aujourd'hui.
c 'est le 14 août 1998 que je l'ai
choisie...
Des que je l'ai vue, j'ai su que c'était elle!
ma nouvelle môman!!!!


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Zero pointé pour les adoptions

ZERO POINTE POUR LES ADOPTIONS
.
Alain HABARE s'etonne que même les jeunes
chiots, comme ici Tokyo un croisé pékinois
ne soit pas adopté















A ma maconnaissance, ça n'est jamais arrive
La semaine dernière, nous n'avons pas eu une seule adoption. C'est la plus mauvaise semaine de l'année.
Alain Habare, le président de la SPA à Poulainville, n'en revient toujours pas : aucun animal de son refuge n'a trouvé preneur ces huit derniers jours.
Heureusement encore, le nombre d'abandons est resté stable par rap­port à l'été dernier. Mais c'est tou­jourstrop a son goût.
«Par rapport aux autres étés, il n'y a pas de recru­descence des abandons. Avant il y avait toujours une bonne raison pour se séparer de son animal : un déména­gement, des allergies... maintenant les gens mettent ça sur le compte de la crise, expliquant qu'ils n'ont plus les moyens de nourrir leur animal. C'est un peu facile comme excuse ».



Il se souvient qu'il y a 15 jours, une personne s'est rendue à la SPA pour y abandonner son canari à qui elle ne pouvait plus donner à man­ger. «Je n'y crois pas trop. La crise est un prétexte ».
Mais là où ça coince vraiment, ce sont les adoptions. «D'habitude, on en fait toujours une ou deux par semaine. Ne pas parvenir à placer un seul chien, c'est inquiétant. Nous hébergeons, depuis trois semaines, des petits chiens en bas âge et personne n'en veut».

Les dons se font plus rares aussi.La générosité se fait également plus rare. «D'habitude, on a des gens qui viennent le week-end, donnent des croquettes ou un peu d'argent. Ces gens ne viennent plus aussi souvent
C'est là que l'on ressent de où les enfants sont présents et peu-un problème économique ». Pour autant
le président de la SPA ne baisse pas les bras.
« On compte Et le choix est vaste à la SPA où 48 beaucoup sur le mois d'aoûtpour sau- chiens occupent les 50 places dispo­ver la face. D'habitude, on travaille nibles de la structure, sans compter bien durant ce mois. Il y a les gens qui la trentaine de chats. « C'est complet reviennent de vacances, d'autres qui partout. Lundi matin, on m'a même sont restés à la maison pour faire des téléphoné d'un refuge de Paris pour travaux... c'est l'idéal pour adopter que l'on accueille quatre chatons. un animal, surtout durant cette pério- Dans la région parisienne, c'est la.
même situation, les refuges sont en surcapacité ». Heureusement, la SPA de Poulainville peut compter sur des familles d'accueil, qui peu­vent prendre quelques animaux temporairement. « C'est du dépanna­ge, mais pour elles aussi, il y a satura­tion ».
Pendant ce temps, le refuge de Poulainville investit dans une infir­merie, dans un revêtement de sol.(d'un montant de 23 000 €) pour up meilleur confort des animaux. Et surtout, il croise les doigts pour que le mois d'août connaisse un plus grand succès sur le plan des adop­tions.


.Au refuge Filémon, route d'Allonvil­le, là aussi, c'est la saturation avec 47 chiens, 58 chats, sans compter les nom­breux animaux de la ferme. Ici, on constate moins d'abandons que l'été dernier, ci c'est peut-être le fait que les gens partent moins en vacances », esti­me Francis Pardoen, le responsable des chats. Mais c'est justement avant les congés d'été que le refuge a connu un pic dans les abandons. ci Les gens trou­vaient comme prétexte la crise. lis fai­saient des économies sur tout, comme sur la nourriture des animaux par exemple 1).
Au niveau des dons, le refuge File-mon souffre aussi. D'autant plus qu'il a besoin d'argent pour construire les chatteries. (4 Grâce aux dons, nous som­mes sur le point de construire une infir­merie. Mais pour les chatteries, il nous faut encore 22 000 C pour être aux normes vis-à-vis de la direction départe­mentale des services vétérinaires». Pas une mince affaire.
Un refuge qui, en plus des animaux habituels, accueille des animaux de la ferme : cochons, chèvres, deux oies, un poney, des poules, des rongeurs... ci Ce sont également des animaux abandon­nés pour diverses raisons. Parfois DES.gens vont dans des animaleries et tom­bent sous le charme de petits cochons vietnamiens. Mais on ne leur dit pas qu'au bout d'un certain temps, ils peu­vent peser jusqu'à 100 kg, car ils ne sont pas tous nains. Pour descendre les escaliers d'un appartement, ça change tout». D'autres vont acquérir une chè­vre, ci qui servira juste à tondre leur pelouse. Mais quand ils déménagent et qu'ils n'ont plus de terrain, ils n'en ont plus d'utilité». Et ça se retrouve chez Filémon.




Le refuge de Mondidier dans l attente

.Le refuge animalier dans l attente

Sylvain Dumont à la tête de l'association en charge du refuge animalier de Montdidier souhaite aménager et agrandir ses locaux.Les négociations avec la mairie n 'ont pas abouti mercredi dernier, le président du refuge a quitté la salle en furie!


"Qu elle nous dise carrément "on ne veut pas de vous et de votre refuge ici"


C'est en ces termes que Sylvain Dumont,révolté, s'exprime à l'encontre du maire de Montdidier, Catherine Quignon-Le Tyrans.


L'objet d'une telle colère ? Ce qu'il vit comme un revirement de la mai­rie. Un terrain d'entente semblait pourtant avoir été trouvé il y a quel­ques semaines.
En effet, le refuge de Protection Montdidiérenne des Animaux (PMA), route de Piennes, se situe sur un terrain communal. L'autre domai­ne, collé au premier, permettrait au refuge de s'agrandir. Cependant ce dernier n'appartient pas à la commu­ne. Il est la propriété du ministère de l'Économie et des Finances.
«Nous voulons que notre refuge soit aux normes établies par la Direction des Services vétérinaires » avance le président. Actuellement les boxs sont trop petits. « Leur taille devrait être doublée pour être en accord avec les normes. Le revêtement, lui aussi, a besoin d'être changé ». Le béton actuel blesse les pattes des ani­maux.
Les projets sont donc au point mort pour le refuge. Sylvain Dumont, récemment arrivé à Mon­tdidier, estime que la commune a changé d'avis : «Nous avions rencon­tré madame le maire une première fois, et tout s'était bien passé. Elle nous avait dit que cela l'embêtait de donner des subventions à la SPA d'Amiens alors qu'il y a un refuge à Montdidier, explique-t-il. Nous œuvrons pour faire vivre ce site. La rénovation permettrait de créer des emplois aussi.


Lorsque nous nous som­mes présentés une seconde fois a la mairie, mercredi, on nous a ri au nez
Une version que dément formelle­ment la mairie de Montdidier (lire ci dessous), mais le président de l'asso­ciation a bien quitté la table sur le champ.
L'association PMA serait prête à «prendre ce que la mairie lui donne ». Seulement, le terrain communal accueille aussi un mobilhome. Diffi­cile d'expulser deux personnes, qui plus est dans le besoin.
Selon Sylvain Dumont, ces person­nes seraient à l'origine de dégrada­tions au niveau du foyer : «Je sais bien qu'il faut les loger quelque part, mais moi, j'ai peur pour mes chiens. Des boxs ont été cassés, des murs abî­més. J'ai décidé de porter plainte dimanche dernier car la situation n'est pas viable ».


En l'absence de preuves, ces accusations sont totale­ment gratuites.

Pétition, manifestation ?
«Madame le maire avance qu'elle fait dans le social, mais pas du tout. Elle refuse de nous aider en s'appuyant sur des textes sans aller plus loin, lance-t-il. Je me battrai s'il le faut pour les animaux ! » Une pétition .serait déjà en cours de rédac­tion, mais cela pourrait aller plus loin.
Le refuge est en train de s'allier avec d'autres associations telles que les pigeons bleus. Leurs locaux sont établis sur le même terrain que le mobilhome. Eux aussi sont victimes de nuisances. «L'union fait la force », sourit Sylvain Dumont.
Ces rapprochements sont en vue d'une manifestation qui pourrait avoir lieu en septembre. D'autres actions coup de poing sont à l'o du jour comme le révèle le p dent de l'association : «S'il le. nous effectuerons un sit-in deva mairie avec les animaux. Je me re gne auprès du sous-préfet afin d en toute légalité ».
Si les négociations restaient nés, la solution pourrait être de dénicher un autre refuge. Une alternative à laquelle Sylvain Dumont a pensé, en se renseignant à Roye

DAMIEN LARGILLIERE

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Catherine Quignon-Le Tyrant :
« Seule la réhabilitation du refuge est possible »

Pour le maire de Montdidier, il avait été convenu lors de la première rencon­tre que le refuge serait remis aux nor­mes. «L objectif commun était de sépa­rer les cages pour en augmenter leur superficie. Pour chaque local animalier, une nouvelle cage ferait la taille de deux anciennes. Nous étions d'accord sur ce point», avance Catherine Qui­gnon-Le Tyrant.
D'après elle, la requête de l'associa­tion a changé lors du second ren­dez-vous: agrandir le refuge en utili­sant les deux terrains, pour atteindre la capacité à 49 animaux.
Impossible selon le maire de la com­mune : «D'une part l'autre terrain ne nous appartient pas. Il est la propriété du ministère. on ne peut donc pas don­ner l'accord pour des travaux, D'autre part, la surface est trop petite pour l'accueil de tous ces animaux. Tout au plus, on pourrait y installer 75 à 20 bois ». Tout en restant aux normes, bien entendu.
Le mobilhome présent sur le terrain communal est aussi l'un des facteurs de la discorde. Catherine Quignon-Le.Tyrant se défend : «C'est une situation provisoire pour faire face à l'urgence dans laquelle se trouvent ces person­nes. Si nous ne les aidons pas, il y aura non-assistance à personne en danger ».

Le seul aménagement, prévu pour le moment route de Piennes, est le raccor­dement au tout-à-l'égout. Qu'une issue soit trouvée ou non, les ouvriers, eux s'affaireront à partir du 15 septembre.

lundi 10 août 2009

les premiers pas d Eliott


Les premiers pas d'Eliott

mercredi 5 août 2009