
.Des retards administratifs et de mauvais conseils ont mis le refuge Filemon dans une passe difficile. Aujourd'hui, c'est un optimisme prudent qui anime sa responsable.
Depuis mars 2008, le refuge employait quatre personnes (trois contrats avenir et un contrat d'aide à l'emploi) qui s'occupaient des animaux et des boxes. Problème, ils n'ont été enregistrés à l'Urssaf et aux Assedic qu'en février 2009.
«Un expert comptable nous a dit à l'époque qu'on n'avait rien à payer avec ce type de contrats. » Avec le recul, Adeline Hoffman reconnaît s'être fait berner en beauté. Seulement voilà, les montants impayés (charges patronales et salariales) pour 2008 s'élèvent à 3 800 euros.
La situation s'améliore lentement mais sûrement : «Ce qui devait être payé à l'origine a été payé, soit 2 800 euros. Le reste est pratiquement réglé. » Une bonne nouvelle grâce, en grande partie, à la générosité des particuliers.
Mais ce n'est pas tout, lors de la tempête de fin 2008, les chatteries ont été détruites, elles n'ont pas résisté au vent. La Direction départementale des services vétérinaires s'en est mêlée et a demandé à ce qu'elles soient désormais aux normes actuelles donc reconstruites,en dur et non plus en bois.
Depuis mars 2008, le refuge employait quatre personnes (trois contrats avenir et un contrat d'aide à l'emploi) qui s'occupaient des animaux et des boxes. Problème, ils n'ont été enregistrés à l'Urssaf et aux Assedic qu'en février 2009.
«Un expert comptable nous a dit à l'époque qu'on n'avait rien à payer avec ce type de contrats. » Avec le recul, Adeline Hoffman reconnaît s'être fait berner en beauté. Seulement voilà, les montants impayés (charges patronales et salariales) pour 2008 s'élèvent à 3 800 euros.
La situation s'améliore lentement mais sûrement : «Ce qui devait être payé à l'origine a été payé, soit 2 800 euros. Le reste est pratiquement réglé. » Une bonne nouvelle grâce, en grande partie, à la générosité des particuliers.
Mais ce n'est pas tout, lors de la tempête de fin 2008, les chatteries ont été détruites, elles n'ont pas résisté au vent. La Direction départementale des services vétérinaires s'en est mêlée et a demandé à ce qu'elles soient désormais aux normes actuelles donc reconstruites,en dur et non plus en bois.
Cout estime des travaux..22 000 euros. Le refuge avait jusqu'à la fin du mois de juin pour engager les travaux. « Nous avons demandé à un professionnel de s'en occuper depuis deux mois mais on attendait toujours. »
Adeline Hoffman espère que la situation se débloque rapidement et que le dossier du permis de construire puisse partir à la mairie et à la Direction départementale des services vétérinaires. Un enjeu d'autant plus important quand on sait que le début des travaux conditionne l'aide financière de la Fondation Brigitte Bardot.
Parallèlement, des travaux concernant la construction d'une infirmerie, en dur, pour les soins ont démarré.
Le refuge accueille, actuellement, 49 chiens et 90 chats.
De notre correspondant CHRISTOPHE NIOPEL
Adeline Hoffman espère que la situation se débloque rapidement et que le dossier du permis de construire puisse partir à la mairie et à la Direction départementale des services vétérinaires. Un enjeu d'autant plus important quand on sait que le début des travaux conditionne l'aide financière de la Fondation Brigitte Bardot.
Parallèlement, des travaux concernant la construction d'une infirmerie, en dur, pour les soins ont démarré.
Le refuge accueille, actuellement, 49 chiens et 90 chats.
De notre correspondant CHRISTOPHE NIOPEL
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